•  

    La proportion d'agents absents pour raisons de santé dans les collectivités territoriales est restée stable en 2013, avec 40% d'entre eux ayant eu au moins une absence dans l'année, selon une étude rendue publique mardi 25 novembre 2014.

     

     Après une forte augmentation entre 2007 et 2011, les d’arrêts pour maladie ordinaire qui avaient chuté en 2012, continuent à être à la baisse, selon l’étude de Sofaxis. La société d’assurance spécialisée y voit notamment un effet de la mise en place d’un jour de carence (non indemnisé), instauré par la droite en 2011, et supprimé depuis par la gauche dans le budget 2014.

     Parmi les absences recensées chez les agents territoriaux, 29% sont dues à la maladie ordinaire, 6% à des accidents de travail, 3% à des longues maladie ou affections de longue durée et 2% à la maternité.

     La durée moyenne d’arrêt, qui mesure le temps de travail perdu rapporté au nombre d’arrêts, est de 40 jours, avec 23 jours en moyenne pour la maladie ordinaire et 221 jours d’arrêt en longue maladie/longue durée. Cette durée moyenne a augmenté de 6 jours depuis 2007 (+17%), notamment parce que la durée des arrêts en accident de travail a augmenté (passant de 45 jours en 2007 à 55 en 2013).

     L’étude de Sofaxis a évalué le coût moyen des absences pour raisons de santé : il est en moyenne de 1.772 euros pour un agent territorial (en hausse de 18% depuis 2007). Il va de près de 1.000 euros pour la maladie ordinaire à près de 65.000 euros en moyenne en congé longue durée.

     Le courtier a en outre identifié des différences notables selon la taille des organisations. « Très schématiquement, dans les petites collectivités, on s’arrête peu souvent, et les agents sont peu nombreux à s’arrêter mais s’ils le font, cela dure longtemps. Tandis que dans les grandes collectivités, les arrêts sont nombreux et durent souvent peu de temps », souligne Pierre Souchon, directeur du département « ingénierie/services ».

     L’étude de Sofaxis montre enfin l’impact « extrêmement important » de l’âge.

     « La maîtrise des absences pour raisons de santé est un enjeu fondamental en termes organisationnel, budgétaire et de qualité de vie au travail. Il faut vraiment que les employeurs en prennent conscience », conclut Marc Jeannin, directeur général de Sofaxis.

     L’étude a été réalisée auprès d’un échantillon de 366.700 agents affiliés à la Caisse nationale de retraite des agents des collectivités locales (CNRACL), répartis dans 18.500 collectivités. Le champ d’étude est constitué par l’ensemble des arrêts de travail déclarés entre 2007 et 2013.

     


    votre commentaire
  •  

    Le 1er janvier 2015, tous les agents de catégorie C sans distinction verront leur salaire augmenter de 5 points d'indice ce qui représente une augmentation mensuelle de 23,15 euros et de 277,80 euros par an.

     

    Cette augmentation intervient à la suite de celle de février 2014 que l'UNSA avait négociée pour les agents de catégorie C les moins bien rémunérés de la fonction publique territoriale.

     

    Certes, l'absence de revalorisation du pouvoir d'achat pour toutes les catégories est récurrent. Pour autant, dans le contexte actuel toujours plus drastique sur la réduction des déficits publics, il aurait été difficile d'obtenir une augmentation de 5 points fut elle insuffisante.

     

    Faites passez le message et faites voter UNSA Territoriaux

     


    votre commentaire
  •   

    Compte-rendu de la réunion du 07 novembre 2014

     

    du groupe des MSD.

     

    1 – Elections professionnelles

     

     

     

    A – Listes

     

     

     

    Le SD64 UNSA est satisfait des listes déposées pour les élections professionnelles du 4 décembre.

     

     

     

    Au CG 64, la parité a été possible sur la liste CT et CAP A (listes complètes).

     

    Une liste incomplète est déposée en CAP B.

     

    Une liste complète est déposée en CAP C.

     

     

     

    A noter qu’il n’y aura pas de cumul de mandat, aucun des 56 candidates et candidats du SD64 UNSA n’est sur deux listes.

     

     

     

    Les membres du CHSCT seront désignés par chaque organisation syndicale, en fonction du résultat obtenu au CT.

     

     

     

    LE SECRETAIRE INSISTE POUR QUE CHACUN VOTE DES RECEPTION DU MATERIEL. EN EFFET, LES DELAIS D’ACHEMINEMENT DE LA POSTE PEUVENT ETRE DE PLUSIEURS JOURS ET TOUT VOTE RECU APRES LE 4 DECEMBRE NE SERA PAS COMPTABILISE.

     

     

     

    LE VOTE SE FAIT SUR LISTE ENTIERE.

     

     

     

     

     

    Listes déposées dans les autres collectivités

     

     

     

    Mairie Boucau : CT liste complète

     

    Mairie St Pierre d’Irube : CT liste complète

     

    Mairie d’Ustaritz : CT liste complète

     

    Mairie d’Urrugne : CT liste incomplète

     

    Conservatoire de musique de Bayonne : CT liste complète

     

    Mairie d’Orthez : CT liste complète

     

    Communauté de Commune Lacq Orthez : CT liste complète

     

    Mairie de Jurançon : CT liste complète

     

    Centre de Gestion 64 : CT liste complète, CAP A liste incomplète, CAP B liste incomplète, CAP C liste complète

     

    Mairie de Pau et Communauté d’Agglomération : CT liste complète, CAP A liste incomplète, CAP B liste complète, CAP C liste complète

     

    SDIS 64 : CT liste complète

     

    Syndicat Mixte de Traitement des Déchets Sévignacq Thèze : CT liste complète.

     

     

     

    B – Campagne électorale

     

    CG64 :

     

     

     

    Un tract en préparation, et à l’attention des assistants familiaux,  sera distribué par les militantes et militants du CG64.

     

    Les réunions d’information débutées en septembre, dans les agences techniques, se poursuivent et dans les MSD, collèges, Hôtel du Département et Nive.

     

     

     

    Autres collectivités

     

     

     

    Les militantes et militants du CG64 iront à la rencontre de leurs collègues territoriaux de différentes collectivités, pour leur distribuer des tracts.

     

     

     

     

     

    Projet : vendredi 5 décembre, bilan des élections pour les militant(e)s candidat(e)s, ou celles et ceux ayant activement participé à la campagne.

     

    La date et le lieu seront confirmés prochainement.

     

     

     

    2 - Formation syndicale du 30 septembre au 3 octobre

     

     

     

    Une formation syndicale, organisée par l’Union Départementale Interpro a eu lieu, en Aragon, aux dates ci-dessus.

     

    Elle s’adressait aux militants engagés au sein de l’UD.

     

    Le programme abordait : l’histoire des relations entre l’UGT et l’UNSA, l’histoire du syndicalisme espagnol et français, Comité d’Entreprise/Délégués du Personnel, Risques psychosociaux, présentation du Conseil Economique social et Environnemental Régional, Confédération Européenne des Syndicats, ambition 2017.

     

    Les moments studieux et conviviaux ont permis aux participants de faire connaissance, et de consolider le groupe.

     

     

     

    3 – Réforme des Collectivités Territoriales

     

     

     

    Le mercredi 5 novembre, à l’occasion de la tenue du Congrès de l’Association des Départements de France, à Pau, deux représentants du SD64 UNSA ont été reçus par Monsieur EON, collaborateur du Président de l’ADF.

     

    Ce dernier a pu communiquer les éléments en sa possession, au sujet du transfert aux Régions, des agents des routes, des collèges et des transports scolaires, prévu en 2017.

     

    Le nombre de Départements dont l’existence perdurerait n’est pas encore défini, mais devrait être plus important que prévu initialement.

     

     

     

     

     

     

     

    Prochaine réunion du groupe DSD, sous réserve de disponibilité de la salle : lundi 19 janvier 2015.

     

     

     


    votre commentaire
  • Le volet « Compétences » de la réforme territoriale devrait être, en novembre, le premier grand texte examiné en première lecture par le Sénat issu du scrutin du 28 septembre. Le Gouvernement souhaite que l’examen de ce projet de loi au Parlement soit l’occasion de transférer, dès 2017, les compétences départementales aux métropoles.

    Les incertitudes liées au premier texte sur le calendrier des élections départementales et régionales n’auront pas d’incidence sur le volet « Compétences » de la réforme territoriale. Bien au contraire, le Gouvernement entend « bétonner » son second projet de loi afin d’éviter tout désagrément politico-juridique.
    Cet arsenal, promu par Marylise Lebranchu et présenté le 18 juin en conseil des ministres, devrait, selon une source proche du Gouvernement, être en novembre le premier grand texte non-budgétaire examiné en première lecture par le nouveau Sénat issu du scrutin du 28 septembre. Une gageure, en cette période d’embouteillage parlementaire.
    Le lobbying des grandes villes -Pour le Gouvernement, cet examen doit être l’occasion d’aller plus loin dans la dévitalisation du conseil général. Il songe naturellement aux territoires des neuf à onze métropoles de droit commun.
    Là où le texte du 18 juin prévoit un complexe système de conventionnements, le gouvernement envisage désormais le transfert obligatoire des compétences départementales aux grands ensembles urbains nés de la loi du 27 janvier 2014. Une orientation qui répond à une requête formulée par l’Association des maires des grandes villes de France (AMGVF), lors d’une entrevue le 3 septembre avec le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve.
    Les professionnels de l’action publique locale se situent sur la même ligne. Dans 15 propositions à paraître dans les prochaines semaines, le Syndicat national des directeurs généraux des collectivités territoriales prône un transfert « automatique » des compétences départementales sur le territoire métropolitain.
    L’impossible Sénat des intercommunalités - Pour les autres parties du pays, le Gouvernement entend donner du temps au débat et à la réflexion. Le second projet de loi portant réforme territoriale ne devrait pas comporter de disposition sur la transformation de l’actuelle assemblée départementale en un Sénat des présidents d’intercommunalités.
    Pour une raison très simple : cette mesure ne serait pas conforme à la Constitution. Selon les juristes consultés, le département, en tant que collectivité de plein exercice inscrite dans la loi fondamentale, ne peut être formé d’élus désignés au deuxième ou au troisième degré.
    Sauf improbable révision constitutionnelle d’ici la présidentielle de 2017, la fédération des intercommunalités souhaitée par Manuel Valls pour les zones non-métropolitaines sera donc, par définition, limitée. Elle devra s’appuyer sur l’actuelle assemblée départementale. Or, les nouvelles circonscriptions électorales nées du redécoupage des cantons, ne coïncident généralement pas avec les périmètres des intercos. Un hiatus dont s’était émue l’Assemblée des communautés de France.
    Le regret de Manuel Valls – Cet impératif, à l’époque du redécoupage, n’était pas inscrit dans la commande politique de l’Elysée au ministre de l’Intérieur d’alors, un certain Manuel Valls. En privé, le Premier ministre regrette aujourd’hui que les nouveaux cantons ne coïncident pas avec les périmètres intercommunaux.
    Mais le Gouvernement entend aller de l’avant. A ses yeux, la transformation du conseil général en une agence au service des intercommunalités reste encore possible. Il observe, avec satisfaction, l’attitude de certains députés conseillers généraux PS. Ceux-ci, après avoir prôné en juillet le statu quo au sein d’un mini-groupe emmené par Germinal Peiro, se montreraient davantage ouverts à des évolutions institutionnelles.

     


    votre commentaire
  • Un décret revalorise la carrière des médecins territoriaux. A cette fin, le nombre et la durée des échelons des deux premiers grades, médecin de 2e classe et médecin de 1re classe, sont modifiés en corrélation avec les nouveaux indices fixés par le décret indiciaire. Les conditions de promotion au deuxième grade sont adaptées pour tenir compte de ces modifications. Le troisième grade, médecin hors classe, qui culmine actuellement à la hors-échelle B, est complété par un échelon spécial contingenté, doté de la hors-échelle B bis.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique